Visite du chateau (PV Kaito)

Le silence....le calme....nul probleme nul solution.....rien juste Kaito. La vie parait si simple comme ça, dommage qu'il n'en soit pas ainsi tout les jours. La différence empeche les gens de vivre en harmonie ensemble. Mais alors avec qui Kaito pourait il vivre ? Les shamans sont rares, beaucoup trop rare. Il n'était certe pas seul puisque Skato était avec lui mais une personne non animal à ses cotés serait certainement mieu.

Soudain une voix retentit dans sa tete. C'était celle de Shandiran essayant de le résonner. Mais cela ne fesait que le persuader encore plus qu'il était impossible pour lui de vivre au pres d'Anika il y a trop de différence entre eux. Kaito leva la tete aux cieux là où il voyait la silouhette de Shandiran tournait autour de lui.

Tu as raison on ne nait pas dans les meme conditions, Anika n'est pas du meme milieu que moi, nous sommes en tout point opposés. Ainsi comment veux tu que je puisse rester à ses cotés ? Maintenant rejoins la, tu es dans son coeur alors reste à ses cotés. Moi je vais trouver quelque chose pour occuper ma vie ou alors j'y mettrai un fin.

Les convictions néfastes et un gros orgueil ne faissaient jamais bon ménage. Shandiran était incapable d'aider Kaito si lui même ne voulait pas que ça change. Il ne lui restait plus qu'à rentrer au chateau et mettre Anika au courant.

Il finit par arriver au chateau et trouva Anika assise sur un balot. La mine enjoué comme toujours elle regarda le grand dragon rentré dans la pièce. Mais son dragon avait la queue entre les jambes preuve évidente qu'il allait mal.

°Shandiran° Mais que...

Shandiran savait qu'il allait devoir peser ses mots parce que Anika risquait de beaucoup souffrir de la décision de Kaito.

°Anika° Anika, écoute moi je t'en prie. C'est Kaito, il veut ton bonheur... et... il a décider de s'en aller... Je suis désolé Anika, j'ai vraiment tout fait pour le convaincre. Pardonne moi...

Shandiran avait bassé la tête pour montrer à quel point il était désolé de ce qui se passait. Mais les larmes montaient tout de même aux yeux de la jeune reine. Elle avait l'impression qu'on venait de lui planter un couteau dans le corps et qu'on le lui avait même retirer... Sa douleur n'était comparable à aucune...

» Kaito Kakiri